Petite, j’ai été une enfant modèle.

« Sage comme une image », j’étais la fierté de ma maman et la coqueluche des maîtresses.

 

Très discrète, souriante, gentille, timide mais participant quand même en classe, je faisais tout ce qui était attendu de moi. Toujours m’adaptant à mes interlocuteurs, je sentais les besoins des autres avant même qu’ils en prennent eux-mêmes conscience.

 

Je faisais tout pour faire plaisir. Souvent à mes dépens. Mais je ne m’en rendais pas compte, parce qu’en vrai je ne savais même pas que j’avais des besoins et encore moins quels pouvaient-ils être et que j’avais le droit – et la responsabilité – de les combler.

 

En grandissant, j’ai cru que Carol c’était cette personne-là.

 

Mais même si j’affichais un visage avenant, doux et toujours souriant, je n’étais pas heureuse pour autant.

 

En réalité, je poliçais constamment mon comportement sans m’en rendre compte ce qui mangeait énormément de mon énergie et m’exténuait,

 

j’étais tout le temps aux aguets pour parer à l’imprévu,

 

un fond d’angoisse était toujours présent, en oppressant ma poitrine, en serrant ma gorge,

 

je n’arrivais pas à dire non, je ne savais pas poser des limites,

 

je ne réussissais pas à prendre soin de moi sans culpabiliser, ce qui faisait que ces instants dérobés à ma performance sacrificielle n’étaient pas de grand profit pour me ressourcer.

 

A certaines périodes de ma vie j’avais plus l’impression d’être un zombie feignant d’être une personne bien sous tous rapports que d’être vraiment en vie.

 

Mais c’était tout ce que je connaissais alors je vivais tout ça en silence en me disant par moments qu’il devait bien y avoir un truc qui clochait parce que les autres autour de moi n’avaient pas l’air de vivre la même chose que moi.

 

Comme la vie est bien faite, un concours de circonstances dramatiques vint me secouer dans mes profondeurs. Tout ce mal-être que je connaissais si bien s’amplifia et devint un chaos intérieur sans nom me faisant craindre d’être en train de devenir folle.

 

C’est ce qui me mit en quête de réponses et surtout de remèdes pour arrêter d’avoir mal et pour faire partir tout cet inconfort, ce mal-être lancinant qui me pesait tant.

 

C’était le début de mon chemin de retour à moi.

 

Sur ce chemin long et laborieux, parce que sans guidance ni boussole, je peux vous dire que j’en ai testé des approches, que je me suis formée à de nombreuses méthodes, que j’ai cherché inlassablement.

Mais ça a mis beaucoup de temps et je me suis souvent perdue en cours de route, donnant mon pouvoir de-ci de-là parce que c’était ce que j’avais appris à faire depuis petite.

 

A l’époque où je commençais mon chemin, j’étais avec une personne qui ne comprenait pas du tout ma démarche et qui insistait sur le fait que j’avais tout pour être heureuse, ce qui l’empêchait de comprendre que je me sente si mal.

 

Un matin, me voyant assez mal-en-point, il me dit, dépité :

 

« Si tu travailles autant sur toi, pourquoi tu n’es pas heureuse ?… »

 

Je me rappelle que je me suis effondrée en larmes en entendant cette question.

 

Ces quelques mots avaient installé un doute sur ce que j’avais entrepris et qui, même si j’en ressentais l’appel, ne donnait pas un résultat de bonheur comme je l’aurais espéré.

 

C’était une grosse douche froide.

 

Je me souviens avoir tout remis en question et songé à tout arrêter pour redevenir (ou tenter de devenir enfin) normale…

 

Mais l’appel a été plus fort et j’ai continué à cheminer.

Fort heureusement !

 

Ce que j’ai mis des années à comprendre c’est que la question de mon compagnon de l’époque se basait sur un postulat spécifique :

 

Que la vie aurait une destination qui serait celle d’être heureuse.

 

Comme un état à atteindre qui prouverait qu’on a réussi à éliminer ce qui est malheureux et que tout va bien.

 

Ce que j’ai compris à force d’apprendre à traverser et de créer de plus en plus d’espace en moi, c’est que la vraie vie, elle est faite de mille et une sensations, d’infinies nuances, de goûts, de couleurs, d’états intérieurs, et qu’ils ont tous droit de cité puisqu’ils existent.

 

Le challenge c’est d’apprendre à naviguer à travers tous ces états en restant présentes, en étant là, et que pour l’être, il est indispensable d’apprendre à réduire la submersion – ou bien de renouer avec soi si on est en pleine coupure et déconnexion de soi et du monde -, de créer assez d’espace en nous pour éviter de nous détourner de l’inconfortable, de l’intense et de l’extatique aussi ! D’apprendre à dire oui à ce qui est, en créant les conditions nécessaires pour que ce soit un oui tranquille et ancré et pas un ordre de notre volonté parce qu’il paraît qu’il faut vivre dans l’instant présent.

 

S’incliner devant la vie et la laisser vous traverser, tout en ayant la robustesse pour laisser passer ce haut voltage, pour vous sentir vivante et en possession de vos ressources pour faire face et vous découvrir en chemin, voilà ce que vous propose le parcours « Pouvoir tout Traverser » avec « Le Vaisseau« .

 

Il vous propose aussi de vous découvrir dans le lien, de recevoir du soutien consistant, sécure et bienveillant et de ne pas rester toute seule sur la route. Il vous propose de devenir cette personne là pour d’autres femmes, qui telles que vous, cheminent vaillamment au cœur de leur vécu.

 

Voilà ce que la Vie a mis aujourd’hui sur votre chemin, comme invitation pour La rencontrer.
Pour Vous rencontrer.

 

Vous avez le choix.

 

De sentir si votre moment est arrivé.

Si vous sentez que ça frappe fort à l’intérieur de vous.

Que vous avez un rendez-vous avec vous-même et que ce parcours peut vous y conduire en sécurité.

 

Ça serait une grande joie que de vous accompagner sur cette voie. Aux côtés des autres Traversantes.

 

Vous avez jusqu’à ce soir minuit pour bénéficier de l’offre de tarif exceptionnel que nous vous proposons pour ce lancement.

 

Et souvenez-vous, vous pouvez essayer le Parcours avec son Vaisseau jusqu’au lundi 27 novembre et l’arrêter avant cette date s’il ne vous convient pas, puisque vous avez une garantie « satisfaite ou remboursée » de 21 jours à partir du début du parcours.

 

 

Alors… à très vite à l’intérieur.

 

Cliquez ci-dessus pour rejoindre le parcours Pouvoir tout Traverser.

Bien sincèrement,

 

Carol & Nicolas

 

 

Rappel : L’offre exceptionnelle du parcours « Pouvoir tout Traverser » est accessible jusqu’à ce soir minuit. →  Accéder à « Pouvoir tout Traverser ».

 

Si vous avez la moindre question, vous pouvez nous contacter même par téléphone, même en ce dimanche 😉

Numéro de Nicolas : 06 63 89 68 78
Numéro de Carol : 06 51 14 52 24